Un gentil lecteur m’avise que la CSC vient de retirer de son site la page dont j’ai fait une analyse approfondie. En effet, ce matin, je tombe sur une jolie « erreur 404 » (plus maintenant). Bizarrement, tout le reste du site fonctionne parfaitement.

J’en déduis donc que:

 

  1. La CSC ne se sent pas à l’aise (et pour cause, leur rubrique pleine de mensonge suintait la haine)
  2. La CSC ne s’excuse pas et n’engage pas le débat.
  3. La CSC a peur du retentissement et de la mauvaise publicité que lui fait ma chronique.

 

Messieurs les webmestres et dirigeants de la CSC, sachez que la lâcheté de ce retrait en catimini ne vient qu’ajouter à la lâcheté dont vous avez fait preuve en mettant en ligne votre prose mensongère. J’espère sincèrement que ce petit accrochage aura permis à toutes celles et ceux qui auront lu cette chronique de voir un instant le vrai visage de votre syndicat: un visage déformé par la haine.

Mais histoire de pérenniser votre vilenie, j’ai été rechercher dans les archives de Google la page que vous avez retirée du net.

 Que les choses soient claires: tant que la CSC n’aura pas fait des excuses publiques sur son site et ne m’aura pas contacté pour me proposer un débat en public sur leurs intentions vis-à-vis des indépendants et des patrons, cette page restera affichée ici.

 

 

 

 

Après avoir retiré le texte incriminé de sa page, la CSC a remis en ligne une version expurgée. Si les erreurs factuelles ont désormais disparu, le discours est resté identique. Je vous en livre une analyse dans ce nouvel article.

La CSC ne m’a jamais contacté ni pour entamer le débat, ni pour faire ses excuses. La page restera donc affichée telle quelle.